Les Enfants de Lironne
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Nahya
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Ranes
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Les griffons, présentation général et des différente espèces. Empty Les griffons, présentation général et des différente espèces.

Dim 12 Nov 2017 - 15:48
version octobre 2017
[HRP- Ceci est une proposition de description de la faune endémique de l'île du givre. Elle est ouverte à discussion et modification. Le but final et l'écriture d'un manuscrit utilisable en jeux. Le texte papier sera agrémenter (dans l'idéal) d'illustrations. Elles seront postés qunad j'aurais le temps et la foie de m'y mettre  -HRP]

Présentation général


On a souvent pour habitude de décrire les griffons comme ayant l’avant du corps d’un oiseau de proie et un arrière train de félin au d’autre mammifères, bien que cette image soit assez inexacte.
Ce sont des hexapode, du groupe des griffoniforme, carnivore à l’aspect aviaire effectivement marqué : plumes, ailes, bec crochu et serres aux pattes antérieur ET postérieur, par conséquent l’idée d’un postérieur de mammifère est effectivement assez maladroite.


Cette idée est aussi entretenue par la variation importante du plumage entre l’avant et l’arrière de l’animal. Les segments antérieur et médian présentent 2 couches : celle revêtement et celle des sous-plume ; alors que le segment postérieur n’a que la couche de sous-plume. Les plumes de revêtement ont une forme très proche de ce qu’on peut retrouver chez les oiseaux. Les sous plumes quand à elle ont un rachis très court (maximum 4 cm) et les barbes sont particulièrement longues (de 15 à 50 cm contre rarement plus de 5 cm pour les plumes de revêtement) et elles ne s’accrochent pas entre elles ce qui conférent un aspect velu aux zones n’ayant que cette couche. Les hypothèses quant aux raisons de cette disparité du plumage sont nombreuses. Pour certain les sous-plumes offre une bonne protection contre le froid, alors que la couche de revêtement permet de mieux rentrer dans l’air, rentrée qui s’effectue par l’avant. Selon cette théorie on retrouve donc les plumes unique l’endroit où elles sont utile.
Concernant les plumes dédiées au vol, on retrouvent encore beaucoup de similitude avec les oiseaux, que ce soit au niveaux de leurs structure ou de l’agencement sur les ailes. Pour rappel, les ailes des griffons sont formées par la paire de membres médians. Il existe tout de même quelques différences. La plus notable concerne le rachis, chez les griffons il est beaucoup plus dur que chez les oiseaux et il est en forme de T ; ce qui accroît sa rigidité par rapport à une forme tubulaire. Ces particularités font que les pennes sont d’une résistances mortelles. D’après les témoignages de nombreux des chasseurs (ceux ayant survécut à une rencontre), des coups d’ailes ou de queue ne touchant qu’avec les plumes font l’effet d’un coup de poutre et sont, avec la force de ces bêtes, suffisant pour assommer un homme ou pire.


En plus de leur pennes résistantes, griffons sont des créatures dangereuses sur bien d’autres aspects. Les 3 espèces connues sont d’assez grande taille pour se nourrir de grand mammifères. Il n’est pas si rare que des hominidés figurent au menu de ces chasseurs.
Pour ce faire ils sont dotés de redoutable armes naturels. Leur bec crochu (rappelant celui des rapaces) est très tranchant en plus d’être extrêmement robuste. La corne qui le compose est suffisamment dure pour ne pas être entaillée par la plupart des lames de nos forges. Ensuite, les mâchoires des griffons ont une bonne puissance (certes bien moindre comparé aux smilodons ou aux berserkers), elles peuvent sans problème briser des os épais et sectionner, par exemple, une jambe par la même occasion.
Il ne faux pas non plus sous estimer leurs serres. Beaucoup moins tranchantes que le bec, elles n’en sont pas moins redoutable. Elles servent surtout à agripper, que ce soit une proie ou une parois rocheuse. Elles sont associés à des pattes puissantes, là encore suffisamment pour casser des os de bonne taille. De plus la face inférieur des pattes est recouverte de petites écailles-crochet, elles évitent que la prise ne glisse ou ne s’enfuie. A ce sujet, il est admis, qu’il est quasi impossible de se défaire de l’emprise des pattes d’un griffon. Les serres sont aussi particulièrement résistantes, elles sont composées de la même corne que le bec.
Côté méthodes de chasse, les attaques foudroyante sont préférées aux poursuites ou aux affrontement frontaux. Ils plongent et s’abattent violemment sur leur proie. La force de l’impact suffis à tuer sur le coup celles de plus petite taille, on entend ici par petit des cerfs ou des sangliers. Ceux ayant survécut à l’assaut, soit par une plus grande résistance soit en ayant échappé au plus gros du choc, sont condamner si jamais ils sont agripper par une patte. La fuite n’est plus possible et c’est un coup de bec ou de patte qui viendra porter le coup de grâce : colonne vertébrale briser ou gorge tranchée.
Les griffons chasse généralement depuis un affût en hauteur ou en vol plané. Ils excellent pour repérer leur proie sur de longue distances grâce à leur bonne vue par temps claire ou leur ouïe fine les jours de brouillard. Par contre leur odorat serait assez médiocre : comparable à celui des humains.


En plus d’être des prédateur voraces, les griffons sont d’un naturel territorial et solitaire. Ils passent la plupart de leur vie seul et défendent leur territoire jusqu’à la mort . Les intrus, c’est à dire tout les grands prédateurs, sont attaqués à vue. En absence de fuite le combat se termine par une mise à mort. C’est l’issue quasi systématique lors de querelles territorial entre deux griffons. C’est l’une des causes principale de mortalité des jeunes adultes, après avoir était chassé du girond maternelle. Ces créatures sont particulièrement attachées à leur zone de chasse, il n’est pas rare qu’un individue passe toute sa vie au même endroit. Vue la quantité de gibier nécessaire pour nourrir un adulte, la surface défendue par un individu est très étendue. L’estimation exacte est délicate, mais on croise rarement deux griffons à moins d’une lieu intervalle et ceux même dans les région où ils sont le plus nombreux.
Ces animaux marquent leur présence sur leur zone via des vocalises stridente typique : « kériiiik réiik  ». Elles s’entendent sur une grande distance. Elle sont un indicateur simple de présence, quand on à la chance de les entendre. En effet les vocalises sont peu fréquentes ( deux fois par jour maximum) et vue la grandeur des étendues en jeu, les cris ne peuvent souvent pas être entendue d’un bout à l’autre du territoire par une oreille humaine (ce qui n’est pas du tout le cas pour ces créatures).
Les griffons marquent aussi leur domaine via des sécrétions collantes et roussâtres. Ils les rependent sur des point visible depuis le ciel comme le sommet de python rocheux ou la cyme des arbres. Ces marques, en plus d’être très peu odorante sont malheureusement difficiles à repérer sans un point d’observation surélevé.
Les voyageurs qui s’aventurent dans les territoires sauvages non boisés doivent être particulièrement vigilants aux signes de la présence d’un griffons. Vigilance d’autant plus accrue que les signes sont difficiles à déceler. Rappelons au plus téméraires, qu’il est souvent trop tard pour se sauver une fois qu’on à vue la bête.


Toute fois il convient de nuancer l’intolérance de ces créatures quand au intrus sur leur territoire. Pendant la période de reproduction, les individues de sexe opposer ne s’étripe pas systématiquement à vue. Par contre les mâle sont beaucoup plus véhément entre eux. Il existe des différences importante sur les comportement reproducteur entre les différentes espèces, c’est pourquoi ils seront traités en détail séparément dans le descriptif de chaque espèces connues.
Au niveau des points commun, la période des amours se déroule du milieu à la fin de l’hiver. Les femelles pondent un à deux œufs du début au milieu du printemps et l’éclosion se produit six semaines après la ponte. Les petits restent au nid 5 à 6 mois, ils ne quitterons leur mère que vers l’âge de deux ans.
On peut s’étonner du délais important entre l’accouplement et la ponte, environs deux mois. Chez les oiseaux, très proche des griffons sur de nombreux points, il n’y jamais plus d’une semaine avant la ponte du premier œuf. Deux théories majeurs s’affrontent à se sujet. Pour la première, le décalage est due au temps nécessaire pour former les œufs, qui pour rappel font à peu près la taille d’une tête humaine. Pour la seconde, la formation des œufs n’est pas si longue, mais ils reste à l’intérieur de la mère et sont pondue plus tard pour éviter de les exposer au rigueur de l’hiver. De plus le développement ne pourrait pas être complètement interne car à un stade avancé il gênerait la mère pour chasser et les chaos pourrait à force mettre en danger les petits en formation. Le seul moyen de lever le voile sur ce mystère serait de pouvoir disséquer une femelle après accouplement. Autant dire que ce n’est pas prêt d’arriver.
Les nids sont le plus souvent construits sur des pythons rocheux difficiles d’accès et plus rarement à la cymes des plus grand arbres. Ils sont fait d’un empilement grossier de branches, garnis de plumes, d’os et de quelque poils divers. Leur taille varie entre 3 et 5 mètres de diamètre. Ils sont utilisés d’une couvée sur l’autre. Avant chaque utilisation, les nid sont réparés et une couche supplémentaire des branches est ajouté ; grossissant la structure années après années. Au bout de 4-5 couvées ( soit au bout de 20-25 ans, à raison d’une couvée tout les 5 ans environ )les nids peuvent mesurer plus de 3m de haut. Le plus vieux répertorié après 50 ans d’usage a une hauteur estimé à 5m. Cependant il n’y à pas encore eu de mesure effectué pour le vérifier avec exactitude. Le nid en question, en plus d’être perdu au fin fond des montagnes glacées, et encore occupé par une archigriffonne au moment où j’écris ces lignes.
A ce sujet, les mères défendent bec et ongles (littéralement) leur progénitures et leur lieu de nichage. Il n’y a probablement pas plus dangereux pour des voyageur que de passer à proximité d’un nid. Dans ce cas il n’y a aucune chance d’espérer échapper à une attaque. Peut importe l’état
de satiété, si vous avez l’air pas appétissant, ou difficile à attraper ; une furie de plumes vous tombera dessus. Par expérience, le couvert d’une forêt dense sera votre seul salue.


Les lieux de nichage correspondent assez bien aux habitats occupés. Les griffons vivent surtout en dehors des régions boisées. Ils sont bien trop gros pour s’y déplacer aisément. Les grandes plaines leur conviennent parfaitement tant qu’elles sont giboyeuses. On les retrouvent aussi en montagne. Les grand rocs forment des perchoirs appréciés ainsi que des support idéaux pour installer un nids.


On observe des différences marquées de répartition entre les différents griffons. On connaît 3 espèces distinctes : le griffon commun, l’archigriffon et le griffon harfang. Ils se différencient sur bien des points : taille, aspect, comportement, façon de voler, zone de prédilection….
Nous allons maintenant aborder les spécificités de chaque espèces.


[HRP- suite au prochain numéros, il y a déjas une bonne lecture pour les courageux -HRP]
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Sam 2 Déc 2017 - 0:47
version du 1/12/2017



Griffon Harfang
aussi appelé griffon blanc

Taille : 3,5m de long, 2m au garrot, 12m d’envergure, 3m de queue

Description
Les Harfangs sont les griffons les plus petit en terme de hauteur et de carrure et moins fort que leur cousins. Ils sont plutôt svelte pour des griffoniformes, plus en longueur qu’en épaisseur. Par rapport à leur taille ils ont une très grande envergure qui fait de leur espèce les meilleur planeur de leur genre. Leur queue presque aussi longue que leur corps est dotée d’un imposant éventail de plumes sur les deux tiers de sa longueur. l’éventail est en forme de trapèze, plus fin du côté antérieur que postérieur. Chose unique chez les griffons, les plumes de l’éventail sont mobiles, elle peuvent se déployer ou se refermer et chaque côté peut bouger indépendamment l’un de l’autre. La queue des Harfangs est un comme un gouvernail particulièrement efficace et précis. Il est à l’origine de la grande agilité aérienne de ses créatures et compense les problèmes de manœuvrabilité engendrés par leur forte envergure.

Coté plumage, la couche de sous-plumes est très bien fournie et peu sans problème atteindre 15 à 20 cm pour les zones les plus couverte. Le plumage et majoritairement blanc, d’où sont autre nom de griffon blanc, avec des tâches noires éparses. Les tâches sur le corps ont la forme de triangles allongés et orientés de façon homogène. La pointe la plus fine du triangle est toujours orienté vers le côté postérieur. La densité des parties noires varient selon les différente partie du corps. Le ventre et les pattes sont presque entièrement blanc alors que la tête, les ailes et la queue sont beaucoup plus mouchetés. Les flan sont quant à eux moyennement tachetés. Au niveau des ailes les marques noires sont en forme de barre, au nombre de 4 à 8 par plume, et le bout de ces plumes présente un épais liseré coloré. Il est à noter que les griffoneaux sont totalement immaculés à l’éclosion et leur plumage se mouchette progressivement au fil des mues successives. Il existe aussi un difformisme sexuel : les tâches des mâles sont un peu plus épaisses et plus denses que chez les femelles
Une autre particularité de cette espèces se situe sur les pennes. Elles sont duveteuse comme celles des chouette. Il est envisageable que cet élément soit à l’origine de la discrétion du vol de ces deux créatures. Mais par quel mécanisme, le mystère reste entier.

A ce sujet, le vol silencieux des harfang les rendent, à mon humble avis, bien plus dangereux qu’il n’en n’ont l’air. Plus petit et bien moins fort que les archigriffons, ce sont des chasseurs furtifs. Silencieux et peu visible, ils frappent sans être repérés, incarnation de la mort invisible. Il est d’ailleurs assez vraisemblable que certaines légendes sur des coin maudit des montagnes d’où nul ne revient jamais proviennent d’attaque de griffons blanc. Alors que à situation équivalente, le rois des griffons se ferait entendre avec leur vole lourd et vue par un voyageur attentif avec leur couleurs chatoyantes. Par conséquent une fois que vous êtes pris pour cible, il y a plus de chance de survivre à un archigriffon qu’à un harfang.

Côtés alimentation, cette espèce affectionne tout particulièrement les bisons des neiges. Ces proies sont d’assez grande taille pour nourrir un adulte sur quelques jours, mais ils ont l’inconvénient de se déplacer en troupeaux et ils n’hésitent pas à se défendre ou harceler un prédateur en train de manger. Les bouquetins forment une part importante du régime. Certes moins gros, ils sont plus nombreux plus facile et moins dangereux à chasser. A l’occasion les lapins, lièvres et autre plus petits animaux peuvent faire office de casse croûte en période de disette. Exceptionnellement des vouivres peuvent être pris pour cible. Seul un individu affamé se risque à essayer d’abattre une créature de ce calibre et ne s’attaque que à des vouivres juvéniles, malades ou croulantes de vieillesse.
De plus il n’est pas rare que les harfangs soient charognards. Ils vivent dans l’une des zones les moins hospitalière, giboyeuse…. et surtout la plus glacée de l’île. On imagine bien que le moindre repas peu faire la différence entre survie et mort.

Petite particularité des couples Harfangs, quand ils abattent une proie de grande taille ils la découpent en quartier transportable et emmènent les morceaux dans un coin tranquille souvent près de leur nid. Si toute la carcasse ne peut pas être déplacée en un seul voyage, l’un des partenaire fait le guet «en attendant le retour de son compagnon et ainsi de suite jusqu’à qu’il ne reste plus rien sur place. Pour les individus célibataires, ils se contentent le plus souvent de roder autour de leur proie et de chasser les opportuniste le temps de la finir.

Cette espèce affection l’altitude plus que les deux autre. On la croise surtout en moyenne et haute montagne et sur les hauts plateaux glacés. Un vieil adage veut que « là où la neige à jamais demeure, du griffon blanc aie peur. » C’est dans ces régions qu’il y a le moins de créatures assez
forte pour leur faire concurrence. Les Harfang n’étant clairement pas le prédateurs volants le plus puissant, une compétition moindre est un avantage certain quand on est capable de survivre au condition extrême de l’altitude. Néanmoins, il peut arriver que des individus descendent vers la basse montagne lors des hivers les plus rigoureux ; à cause du manque de nourriture. Mais les combats territoriaux qui en découlent ont souvent raisons des téméraires.


Reproduction :

La chose, peut être, la plus remarquable chez cette espèce n’est pas ses talents de chasseur ou de résistance au froid ou aux famines. C’est plutôt la forces des liens qui unissent les deux moitié d’un couple. Les deux partenaires passent toute leur vie ensemble du toilettage à la chasse et passant pas les soins à la progéniture, même en dehors de la période de reproduction. Ce qui est déjà un exploit en soit quand on connais le peu de sociabilité général des griffoniformes. Un couple finit par formé une entité dont les deux cœurs bâtent à l’unisson comme ont le voie rarement, même chez des humains. Quand l’une des moitié meure, l’autre ne tarde pas à disparaître. Difficile à dire si elle meure ou si elle va voir ailleurs…. ou les deux à la fois.
Il existe une légende disant, qu’au cœur des montagnes, au centre de l’île, sur le plus haut sommet, les Harfangs se rendent et y attendent l’âme de leur compagnon. Ils attendent jusqu’à ce qu’un cercueil de givre les enlacent, leur ouvrant la porte de la mort. C’est une fois libérés qu’ils retrouvent leur âme sœur qui les attendait aussi. Les deux compagnons à nouveaux réunis s’en vont serein pour un dernier vol, la joie éclatante de leur retrouvaille illuminant le ciel de lumières chatoyantes aux reflets nacrées.

Je n’ai aucune idée des fondement de cette histoire. Une seule chose de sûre : c’est que je tient assez à la vie pour ne même pas songer à me rendre aussi loin dans les montagnes pour vérifier l’existence d’un champs de griffons-glaçon.

En tout cas, c’est en observant les vieux couples que j’ai pu me rendre compte de toute la sensibilité et de toute l’intelligence dont font preuve ces êtres. La force de l’attachement entre deux partenaire comme le compte la légende ci dessus n’est clairement pas usurpée. J’ai même la conviction qu’ils peuvent ressentir de l’amour l’un pour l’autre….. et je m’égare et je ne vais pas vous ennuyé plus longtemps avec mes divagation de vieil aigris sûrement jaloux de n’avoir jamais trouver un compagnon assez fous pour partager mes voyages…...

Pour en revenir au sujet sérieux, environs un ans après avoir quitté le girond maternelle, les jeunes adultes participent à leur première période nuptial, et la dernière pour ceux qui y trouveront leur partenaire.
Les femelles célibataires « chantent » pour renforcer le marquage de leur territoire et attirer les mâles. Leur chant est fait de vocalises stridentes et assourdissantes ( le bruit est intenable jusqu’à une trentaines de mètres, j’en ai encore mal aux oreilles rien que d’y penser ). Les vocalises sont formées de quelques phrases qui s’alternent avec différents motifs. Il semblerait que chaque femelles ai ses phrases propres et que les motifs les moins monotones ai le plus de succès auprès des mâles. Ces derniers parcours les montagnes, guidé par les « chants » d’amours. Quand ils trouvent une partenaire potentiel, ils effectuent leur parade, c’est à dire un vol acrobatique. Piqué, vrille, tonneaux et vol sur le dos pour les plus doués. Si ils sont rejeter, ils sont chassés hors du territoires à grand coups de bec. Si ils trouvent grâce, la parade se poursuit et se termine par quelques vocalises coordonnées des deux nouveaux partenaires : « kéreeeeeek krékrééék ». Par la suite ils marqueront aussi leur territoire en donnant ensemble de la voix.

Si deux mâles convoitent la même femelle il n’est pas si fréquent, étrangement, qu’ils se battent ; ils se lancent plutôt dans une compétitions du meilleurs acrobates. Cependant, il est plus fréquent que des femelles s’affrontent pendant la période des amours. C’est à cette époque de l’année que les tensions territorial sont à leur paroxysme, et les escarmouches sont monnaie courante pour agrandir sa zone de chasse. Si les territoire est trop petit les mâles sont enclins à aller voir plus loin.

Les deux parents s’occupent à peu prêt à part égale de la progéniture de la construction du nid jusqu’à l’éducation. Pendant la couvaison et le premier mois après éclosion, le mâle et la femelle se relais . Celui qui ne sert pas de bouillotte s’occupe de la protection du nid et du ravitaillement. Quand les petits on plus d’un mois leur plumage est assez développé pour résister au froid. C’est à partir de cette période qu’il n’y plus systématiquement un parent sur le nid. De plus les griffonaux en grandissant on aussi un appétit qui s’accroît. Pour pourvoir au besoin de leur progéniteur les adultes doivent être à deux à chasser. Rappelons que les montagnes sont moins riches en gibier que les zones plus basses et les proies y sont plus éparses. Par conséquent les parents doivent parcourir de très grandes distances.
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Ven 29 Déc 2017 - 21:11
Archigriffon
aussi appelé des griffons roi ou griffon d’or.

Description

Taille : 5m de long ; 3,6m au garrot, 11m d’envergure ; 3m de queue
(figure : détail archigriffon)

C’est le plus massif des griffons connu. Ils sont d’aspect trapu, le poitrail est large et fortement musclé. En proportion avec le reste du corps, les ailes et la queue sont plutôt courtes.
On reconnaît aisément cette espèce à son plumage chatoyant au reflet métallique. La teinte va du blond doré au jusqu’au cuivré avec tout un panel d’intermédiaire. Cette couleur peu commune est à l’origine d’un des autre nom courant de cette espèce : griffon d’or. Fait amusant (pour ceux que ça peut amuser) on trouve plutôt les forment tirant vers doré du coté nord des montagne et les cuivré vers le sud, bien que les complètement cuivrées soient plutôt rare. Pour rajouter une petite touche supplémentaire de discrétion, les reflets des plumes du cou ont des reflet d’à peu près toute les couleur de l’arc-en-ciel, un peu comme pour un coq. Cette coloration est plus marqué chez les mâles et est presque absente chez certaines femelles. De plus le collet des mâles adultes est particulièrement fourni de façon à formé une crinière.
L’éclat particulier des plumes des archigriffons font qu’elles sont très recherchées pour faire des ornements divers et varié. Quand on connaît la difficulté pour en trouver, on comprend très vite leur prix élevé. Le mieux pour dégoter des plumes de belles tailles et d’attendre la période de la mue. A cette occasion elles peuvent pleuvoir sous le passage d’un individu. Ne reste plus qu’à les ramasser sans se faire repérer (oui, parfois c’est délicat). Je pense ne pas avoir besoin de vous expliquer pourquoi la chasse est assez peu recommandée comme méthode d’approvisionnement si vous tenez à rester vivant et/ou en un seul morceau….

Les griffons d’or sont l’incarnation de la force brute allié à un appétit insatiable. Cet aspect transpire dans leur régime alimentaire et leur mode de chasse. Ils chassent surtout des très grosses proies : aurochs, bisons mais aussi des vouivres et des ours. Leur taille et leur force le leur permettent.
Cependant, il faut préciser que tout ce qui bouge et qui est au moins de la taille d’un sanglier peut être sur leur menu. La limite de taille est surtout due au manque de précision des archigriffon. Comparé à leur cousins, ils sont peu discret d’une part à cause de leur plumage….. coloré dirons nous…. d’autre part à cause de leur vol très peu silencieux. Quand ces gros griffons fendent l’air, ils produisent une sorte de sifflement sourd ; un peu comme le bruit que font les pigeons quand ils planent à toute vitesse, mais en plus gros.
Mais comment font donc les archigriffons pour attraper quoi que ce soit si on les vois et on les entends de loin, me dirait vous. Je commencerais pour vous répondre que c’est une excellente question et ensuite je vais éclairer votre lanterne.

Nos gros balourds volant compensent leur lacune en discrétion par beaucoup de vitesse et un peu de stratégie. Malgré leur aspect massif, ceux sont des prédateur très vif et rapide. Ils filent à tire d’ailes bien plus vite qu’une flèche, propulsé par leur puissante musculature.
Quand ils fondent en piqué sur une proie aucun oiseaux ne les surpassent en vitesse. Le secret de leur vélocité en chute libre se cachent probablement dans la posture qu’ils adoptent à ce moment là et dans la taille de leur aille. (figure : position en piqué, cf faucon pèlerin) Après avoir pris un peu d’élan, les griffon d’or foncent vers le sol pattes tendues au possible, doigts bien serrés, tête vers l’avant au plus près des membre antérieur et la queue droite dans le prolongement du corps. Les ailles quand à elles sont à demi repliées et effectuent de petits et rapide battements qui doivent servir à propulser l’animal encore plus vite que ne le ferait la chute seul. Moins de dix mètres avant le sol l’animal se redresse brusquement en position pour l’impact : pattes postérieurs en premières ailles écartées (figure : posture d’impact) . La petite taille de ses dernières doit certainement jouer en faveur de la réalisation de cette manœuvre rapide. En effet de ailles de grandes envergures serait plus longue à déployer et devraient probablement encaisser beaucoup plus de contrainte. Un peu comme une voile de bateau, plus il y a de surface plus le vent appuie dessus.
En conclusion, les griffons d’or compensent leur manque de discrétion par la vitesse brut.

Même si ils ratent leur coups une fois sur trois, en moyenne, les membres de cet espèce ont quelques atouts pour tenir contre la faim.
Premièrement, leur corps peut faire de grandes resserves d’énergie. Entre la base du cou et celle des ailes, ils ont une bosse faite de graisse. Cette dernière permet d’emmagasiner le surplus de nourriture ingurgité. Les archigriffons sont de gros voraces, ils dévorent d’une traite presque toute leur proies, et c’est en générale pas de petites. Mais après un festin ils peuvent rester quelque temps sans rien se mettre sous la dent.
Cette stratégie est assez avantageuse pour passer l’hiver. En effet en été, la nourriture est plutôt abondante et les repas fréquents. Par conséquent la bosse graisseuse grandit, pleine de réserves. En hivers quand les proies se font plus rares, ces griffons peuvent puiser des forces dans leur réserve quand ils ne peuvent pas se remplir la panse assez régulièrement. C’est pourquoi au sortir de l’hiver les archigriffons ont l’air moins imposant qu’à la fin de l’été.
De plus, les individus de cette espèce ont pour habitude de se tailler de grand territoire et de chasser tout les autre prédateur de leur calibre de la zone. Par conséquent ils ont la main ( ou devrais-dire la serre) mise presque exclusive sur un grand réservoir de proies ce qui leur offre la possibilité de s’y reprendre facilement à plusieurs fois pour capturer leur repas.

Les archigriffons sont installés dans les basses montagnes. On peut cependant en trouver jusque dans les plaines inhabitées si il y a quelques promontoires rocheux ou se reposer et faire un nid. Ces créatures s’aventure assez peu en altitude, les terrains n’y sont pas assez giboyeux pour les nourrir et le froid extrême qui y règne les affaiblis grandement. Ils sont plus à l’aise dans des zones plus clémente niveau température même si ils y a beaucoup de concurrence notamment avec les vouivre et les griffons communs.

Reproduction

Les archigriffons sont d’un naturel non sociable et passent la majorité de leur vie en solitaire. Ils tolèrent tout juste leur congénères pendant la période de reproduction et uniquement les congénères de sexe opposés. Les couples restent ensemble peu de temps, juste assez pour perpétuer l’espèce.
Pendant la période des amours, les mâles parcourent terres et cieux pour trouver une partenaire. Si ils croisent un concurrent, l’affrontement est quasi certain. Les deux adversaire commence par essayer d’impressionner l’autre en gonflant leur plumage et ne faisant claquer leur bec. Si aucun ne bas en retraite, le combat commence, brutal et rapide. Il prend fin quand l’un des mâle est soit mort soit en fuite car sérieusement blessé.
Quand ils ont enfin repéré une femelles, ils entament leur parade nuptial par des vocalises gutturales perchés bien en évidence sur un promontoire et à distance de la griffone. Cette première étape sert certainement à attirer l’attention de la femelle et à tester si elle est disposée. Dans le cas contraire, elle chasse prestement l’intrus à grand coup bec. Se placer éloigner permet de gagner du temps pour fuir avant de se faire voler dans les plumes. Ils ne faut pas oublier que chez les griffons les femelles sont plus grande que les mâles.
Si tout se passe bien à la première étape, c’est à dire si le mâle ne se fait pas agresser, il se rapproche alors de sa cible. Il entament alors sa cour à proprement parler. D’abord, il gonfle les plumes au niveau du cou, ce qui forme une épaisse crinière chatoyante. Ensuite, les ailes sont déployées près du sol de façon à bien exposer le plumage. Si la partenaire potentielle ne réagis pas négativement, la parade se poursuit en une sorte de révérence ponctuée de grand hochement de tête. Le mâle tourne autour de la femelle tant bien que mal dans cette posture. (figure : posture de parade) A cette étape on peu souvent entendre quelques vocalises gutturales du prétendant. Le manège dure jusqu’à ce que le griffon se face congédier ou accepter. Vous êtes assez grand, je suppose, pour deviner ce qui ce passe en cas de « congédiement ». Pour marquer son acceptation, la femelle se met à tourner autour du mâle en agitent aussi la tête de haut en bas.
Il semblerais que le bon état et la brillance du plumage du mâle soient des critères déterminant dans la sélection que font les femelles. En effet, les individus au plumes les plus brillantes et bien entretenues réussissent plus souvent à être acceptés par une partenaire. Alors que ceux au plumage terne et défraîchi se font presque toujours refouler. Peut être l’état des plumes est un indicateur de bonne santé. En tout cas les archigriffonnes aiment ce qui brille… je ne sais pas quoi en penser ….

Après l’accouplement, le couple construit un nouveau nid ou consolide un ancien. En plus des branches, il est agrémenté de fougères et de plumes. Les deux partenaires fournissent les plumes. Il peux arriver que des mâles finissent le ventre nus après avoir participer à la garniture de plusieurs nids. En effet, le couple se sépare après la ponte des œufs (deux ou trois). Si l’archigriffone restera solitaire jusqu’à ce que sa progéniture soit adulte, son ancien compagnon poursuis sa route à la recherche de nouvelles partenaires ; tant qu’il n’est pas complètement déplumé.
La mère gère seul les soins à sa progéniture de la couvaison jusqu’à l’apprentissage du vol et de la chasse. Lors de la couvaison, elle quitte le nid tout les trois ou quatre jours pour s’alimenter. Ces sorties peuvent duré jusqu’à deux ou trois heures. Les œufs survivent à cette absence de chauffage très certainement grâce à l’épaisse couche de plumes qui les entoure. Les griffonnes prennent soin de bien couvrir leur œufs avant de s’absenter.
Après l’éclosion, les griffonaux commence très tôt une compétition impitoyable pour l’accès à la nourriture et au chauffage. Dès qu’ils ont assez de forces pour se tenir sur leur pâtes, les bagarres sont monnaie courante. Les petits trop faible pour gagner sa nourriture ou se défendre de ses frères et sœurs ne vivent pas très longtemps. La faim, le froid, les maladies et même passer par dessus le bord du nid ont raison d’eux. Généralement, par couvé, un des jeunes ne survie pas à cette lois du plus fort. Il n’est d’ailleurs pas si rare qu’il ne reste plus qu’un seul griffoneau quand vient le temps des premières leçon de vol.
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Les griffons, présentation général et des différente espèces. Empty Re: Les griffons, présentation général et des différente espèces.

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